Expositions*2013*

 

 

Du 6 Mars au 3 Avril

Poètes d'aujourd'hui

 

 

Dans le cadre de Place aux fleurs
Dimanche 21 avril

Journée Portes ouvertes
à la Médiathèque
de 10h00 à 18h00

Les amis de la médiathèque vous invitent à une dégustation de différents thés
tout au long de la journée

 

Du 4 au 24 Avril

L'HEURE DU THE
Symbole de voyages exotiques autant que de convivialité, de raffinement extrême autant que de détente, pourquoi le thé présente-t-il un tel attrait, constant à travers les siècles et les civilisations ?



 

Du 2 au 15 mai

« Art et Matière »

Marie-Christine Inizan, cartonnière et lissière commence par ses dessins qu’elle retranscrit en tapisseries. Le mélange des nuances et des textures dans ses créations fait vivre de façon contemporaine cet art ancien.

Mosaïste sur commande depuis près de trente ans, Mathilde L'Huillier s’exprime maintenant sur des sujets libres en céramique raku et mosaïque. Ses talents graphiques et artistiques nous donnent des sculptures et tableaux enchanteurs.

Jeanne D. White trouve son inspiration dans la nature et les oiseaux, qui la passionnent. Pour ses œuvres elle choisit dès le départ la technique en fonction de la visualisation de l’œuvre : l’huile, papier, bois et d’autres matières, ce qu’on appelle aussi technique mixte.
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L'artiste sera présente tous les jours de 11h00 à 19h00

Du 16 au 29 mai

"Les peintures abstraites"
de
Janice Toulouse

“Les peintures sont ma déclaration sur ma vie et celle des femmes Indigènes. Une fusion de deux styles de peinture :
l'art contemporain et l’art Ojibwe traditionnel."

 

DU 6 AU19 JUIN

 

 

ROSALIND MARCHANT 
"Je suis artiste-graveur. Mes gravures sont abstraites et elles sont inspirés par ma nouvelle vie ici à Lauzerte où je me suis installée depuis quatre ans. La plupart de mon travail est créée à partir des croquis du paysage de cette région, mais certaines gravures nouvelles présentées dans cette exposition sont une série unique de pièces réalisées pour célébrer une autre forme d'art - l'art très français de la cuisine. "

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JENNY GRAHAM est artiste-peintre britannique qui travaille depuis plus de 25 ans dans ce genre. Elle a visité fréquemment la ville de Lauzerte et elle a déjà créé un certain nombre de peintures et gravures de ce coin, déjà exposées en Angleterre. Dans cette présente exposition, elle va exposer une nouvelle série de peintures de la ville elle-même, ainsi que du paysage environnant. Ses œuvres, bien colorées et stylisées, décrites comme calme et onirique, visent à saisir le sens du lieu. Elle travaille à partir d'une combinaison de l'observation sur place et de sa mémoire.

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Du 20 Juin au 3 Juillet

Pictoroman

Jean-Claude Savi

Aucune caste, aucune meute, aucune église pour venir revendiquer une once de paternité dans ce travail patient et c’est tant mieux. L’acte d’écrire et celui de peindre, de nature très différente, l’un culturellement lié au sens, l’autre naturellement lié aux émotions se retrouvent confondus dans une poésie de la forme où signes et graphismes viennent ouvrir une fenêtre dans laquelle chacun est à même d’inventer ses propres paysages.
                                                                   J.Claude Savi    
                                                                   

 

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DU 4 au 24 JUILLET

EXPOSITION DE GERARD ANTIGNY
"Il ne faut pas grand chose pour être heureux"

 

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Toujours inspiré par les voyages, Antigny nous offre une magnifique errance où l'on peut voir au fil de l'eau, défiler des paysages luxuriants . De nouvelles vibrations, des lumières explosives et ses couleurs si minutieusement travaillées qu'elles font de ce peintre un artiste hors pair.

A voir absolument
Actuellement dans le livre d'Annie Merle : L'école de Toulouse aux éditions Atlantica

 

 

Du 25 juillet au 7 août

Exposition réalisée dans le cadre des nuits de Lauzerte

 

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“ De quoi est fait le monde ? Comment le voyons-nous ? De toute évidence, comme une succession d’échoppes et de bazars. Il y a parfois quelque chose de grisant dans le panache avec lequel le commerce peut nous exalter ou nous éblouir. Apparemment, plus nous voyons et moins nous regardons. Pour moi, l’exotisme est un obstacle, et cet immense marché une barrière qui nous empêche de saisir ce qui est devant nous. A l’opposé des visions minimalistes, l’abondance constitue une esthétique particulière qui évite les simplifications. Mon travail porte sur une réalité inaccessible, sectionnée et filtrée. J’y mêle beaucoup de choses et autant de mondes. ”
Rina Banerjee, 2011

Citoyenne américaine, Rina Banerjee est née à Calcutta en 1963. Suite aux tensions politiques de la fin des années quarante, sa famille quitte l’Inde pour l’Angleterre avant de gagner les Etats-Unis. Bien qu’ingénieure de formation, elle obtient un Master of fine arts à l’Université de Yale en 1995.

Un crâne, des tissus de cérémonie hindoue, une ombrelle chinoise, des colliers africains, des perles en os, de la poudre d’or s’agrègent les uns aux autres pour donner naissance à cette créature cornue, mirifique autant qu’inquiétante.

Le travail de Rina Banerjee exprime toutes les ambiguïtés de son appartenance à la fois au monde occidental et oriental. Ni tout à fait indienne ni tout à fait américaine, elle porte un regard acéré sur le monde post-colonial et sur l’envers de la mondialisation.

Le métissage pourrait être le mot qui définit son travail. Ce sont des sculptures hybrides, à l’image du monde dans lequel nous vivons, qui est celui de la globalisation, des échanges culturels incessants et de l’abolition des distances (grâce aux réseaux de communication et de transport).
Ce sont ses origines qui constituent le pivot essentiel de sa création. En effet, l’Inde est une société dans laquelle religion et spiritualité occupent une place quotidienne et centrale. De ce fait, c’est le syncrétisme qui semble à même de définir l’orientation de son œuvre : entre mondialisation, puissance économique et mysticisme ; entre mythologie, religion, anthropologie et exotisme de pacotille engendré par le tourisme de masse.

Selon ses propres termes, son travail “explore des moments coloniaux spécifiques qui réinventent le lieu et l’identité [indienne] comme autant d’expériences complexes de diaspora.” Finalement, c’est une critique politique subtile que laisse émerger son travail : la mise en garde contre la dilution de la culture indienne dans la mondialisation.

Ici, le titre pourrait se traduire ainsi : Elle est mon pays… Son haleine était chargée de mort et de folie putrides. Ses tresses brisaient la cupidité la plus exacerbée, poussaient les cultures à souiller leurs lits, séparaient les familles et invoquaient l’espoir… elle est en guerre. Rina Banerjee évoque-t-elle sa nation ? Ou bien une histoire plus personnelle ? Les deux ? Il est difficile de trancher et ces longs titres abscons apparaissent alors comme l’illustration littéraire de l’ambiguïté formelle et du baroquisme de ses sculptures.

 

Photographies en noir et blanc de Nina Adler et C. Collister

ICI AU LOIN

C'est "ici" dans le Quercy que l'on trouve des endroits cachés, des voitures anciennes qui semblent se dissoudre dans la terre, même les endroit familiers de la ville de Lauzerte elle-même.

Mais en allant plus loin on se trouve à la frontière entre l'Angleterre et l'Ecosse, le célèbre Hadrian's Wall, construit par les Romains en 122 ap. J-C. Ruiné aujourd'hui, ses pierres volées et réparties partout dans les nombreuses églises et granges voisinants, il évoque néanmoins les spectres de l'armée romaine, surtout dans les brumes et la pluie, toujours omniprésentes.

Enfin, par contraste, je présente quelques images de la chaleureuse île méditerranée de Gozo, prises pendant la Festa annuelle pendant le mois d'août, la Sainte Vierge à sa centre.

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Du 8 au 14 août

Nina ADLER :  ISTANBUL

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Métropole sur deux continents, avec les cultures, les contrastes et les influences millénaires des deux, bien mélangés sur les deux rives du Bosphore. Très ancienne, pourtant à pas de géant vers un futur fulgurant.

Le grand photographe turque, ARA GÜLER, membre réputé de MAGNUM durant des décennies, et qui parcoure sa ville depuis les années 1950, en a fait un portrait  émouvant qui m’a profondément touché et inspiré.  En argentique et N/B évidemment !

J’ai voulu savoir si, à l’heure de nos jours et  malgré le développement explosif des dernières années, Istanbul a gardé un peu de cet esprit, et comment il s’intègre dans une métropole pétillante de modernité.

Durant plusieurs visites en 2012 et 2013 j’ai donc parcouru la ville ; éloignée des quartiers touristiques, je me suis baladée dans les vieilles rues, parfois pavées, de Fatih, d’Eyüp, de Çukurcuma, de Galata, d’Üsküdar, d’Istinye ; j’ai flâné dans le fashionable Bebek, sur la rue piétonne d’Istaklal, sur les promenades longeant le Bosphore.

Depuis le début il m’est apparu comme une évidence de penser ces photos en noir et blanc.  Oui, je sais bien qu’on a changé d’époque, qu’il n’y a plus de charrettes dans les rues, plus de fumée de charbon sur le Bosphore.  Néanmoins, Istanbul a toujours quelque chose à part, difficilement définissable.  Peut-être c’est l’Hüsün  -  la mélancholie stambouliote, comme le décrit Orhan Pamuk dans son livre sur Istanbul.  En tout cas elle  m’attire et je n’en ai pas fini avec elle.

 

Du 15 au 28 août

                        Annie TCHAM, est originaire de TOULOUSE, où elle expose régulièrement.
                        Elle est connue pour ses séries d’œuvres pleines de couleurs et de mouvements faisant toujours la part belle au corps féminin.
                        Si l’artiste se complaît à préciser que parfois le hasard intervient dans la réalisation de son œuvre, il n’en reste pas moins vrai, que son dessin, sa délicatesse et la justesse de son trait recèlent et donnent l’ambiance qu’elle désire conserver comme unité de son écriture picturale.

Faustine COURTESON

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